L’arroseur arrosé, le règlement c’est le règlement, et ce genre de choses
Allez, pour faire plaisir à Cityzen (que ne ferais-je pour toi, vos désirs sont des ordres, et ce genre de choses - ah zut, je l’ai déjà faite celle-là. Tant pis, assumons. Et persistons. Et ce genre de chose, donc. Non mais.). Même si c’est pas beau de réclamer, ami C… C… C…. Enfin bref.
Par contre on va la faire courte, si ça ne vous ennuie pas ?
Des policiers allemands mis à l'amende par un collègue zélé - mercredi 2 février 2005
BERLIN (Reuters) - Un policier zélé a mis une amende sur le véhicule de collègues de la police de la route tandis que ceux-ci installaient un radar dans une ville de l'est de l'Allemagne.
"Les règles de circulation sont les mêmes pour tout le monde", a déclaré Hans-Joachim Schneider, chef de la police de Jessen, au journal Mitteldeutsche Zeitung.
Le véhicule de police était garé à contre-sens.
C’est vrai quoi ! Le code de la route, c’est le code de la route, et c’est pas parce qu’on a un gyrophare bleu qu’on peut faire n’importe quoi, zut à la fin !
De toutes façons, pas de pitié pour les flics qui installent des radars, espèce d’empêcheurs de profiter des - nombreux - chevaux planqués sous le capot !
N’insistez pas, je ne vous dirai pas combien de points il reste sur mon permis…
Dans la série "le règlement c’est le règlement", celle-là aussi est particulièrement savoureuse :
Un arbitre anglais de football prononce sa propre expulsion - mardi 1 février 2005
LONDRES (Reuters) - Un arbitre anglais qui avait failli en venir aux mains avec un gardien s'est donné à lui-même un carton rouge dimanche.
Andy Wain arbitrait la rencontre amateur entre Peterborough North End et une formation de la Royal Mail lorsqu'il a soudain jeté par terre son sifflet et s'est précipité sur le gardien de North End qui venait de lui faire une remarque.
"C'était totalement non professionnel. Si un joueur s'était comporté de la sorte, je l'aurais immédiatement expulsé. Alors, j'ai estimé que je devais en faire autant", a-t-il expliqué.
Celle-là, je l’adore ! C’est beau, une probité pareille, non ? En plus, c’est plutôt rare dans le monde du foot…
Une dernière info, pour la route. Toujours footesque. Nicolas Anelka quitte l’équipe de Manchester pour un club turc au nom imprononçable (Fenerbahçe - un paquet de caramels au beurre salé à qui me donne la vraie prononciation, certifiée conforme, étou étou). Le montant du transfert dépasserait les 10 millions d’euros, et le p’tit gars Nicolas toucherait un salaire annuel de… 2 millions !
2 millions d’euros… soit plus d’un million de francs par mois… Pour jouer à la baballe ?!!! P’tin, j’aurais dû faire sportif, finalement…
Le monde est fou, fou, fou, voyez-vous…